Une plaque rappelle le rôle joué par les cheminots pendant la seconde guerre mondiale dans la résistance à l’occupant nazi et à ses supplétifs de Vichy et le lourd tribu qu’ils ont du payé. 46 nom figurent sur la plaque dévoilée dans le hall de la gare le samedi 15 septembre par Norbert Pilmé, le Président de la délégation territoriale de la Fondation pour la mémoire de la déportation (cf. article journal SO du 19/09/2017 édition de Périgueux).
Sud-Ouest Périgueux du 11 septembre 2017
A Bassillac, à 10H30 à La Roquette, dépôt de gerbe sur le lieu du martyre. A 11 heures au Chaubier (Eyliac), dépôt de gerbe à la stèle des résistants fusillés. Le Bureau du CDM 24 et le Comité ANACR de Saint-Pierre-de-Chignac ont participé à cette cérémonie. Voici le compte-rendu qu’en à fait Sud-Ouest le 23 août.
Deux jours après Périgueux, le 21 août 1944, c’est au tour de Bergerac d’être libérée. Voici l’article de Sud-Ouest qui relate ces évènements, accompagné d’un témoignage sur l’action de l’Armée secrète (AS) dans ce secteur (cliquer sur l’article pour agrandir).
Le 19 août 1944 Périgueux, libérée de l’occupant nazi, accueillait les forces FFI qui livraient depuis plusieurs jours de difficiles combats d’encerclement de la ville. Voici, relaté par Sud-Ouest, le compte rendu de la cérémonie de commémoration de cette journée de libération.
Vingt-quatre heures après le massacre perpétré en Limousin, la tristement célèbre Panzerdivision Das Reich continuait sa sale besogne en Dordogne. À Lesparat à Boulazac, trois jeunes hommes payaient de leur vie leur engagement dans la Résistance. Ils se nommaient Georges Joyeux, André Faure et Charles Schwartz. Ce même jour, les Forces françaises de l’intérieur (FFI) subissaient également des pertes à Fossemagne, Mouleydier et Mussidan. Dimanche 11 juin, une cérémonie s’est déroulée à la stèle de la place Valentin-Le-Gouteux à Boulazac….