Un détachement allemand s’installe à Auriac. La Gestapo se présente chez un Résistant qui a des rapports étroits avec le Maquis :
BONHOMME Henri, 44 ans, est torturé et sera achevé près de l’école sans avoir parlé.
La famille LONGUET n’a pas déclaré que sa voiture sert aux transports du Maquis. Le Maire LAROCHE Antoine n’a rien signalé de cette réquisition. Les Nazis fusillent, et brûlent la ferme, avec les corps des suppliciés.
Au lieu-dit La Borie, en bordure de route, 100 m après un bâtiment, se trouve la stèle où figurent les noms de cinq habitants d’Auriac assassinés par les soldats de la « Brehmer » le 30 mars 1944.