On aura noté, dans un article publié par Emilie Delpeyrat dans l’édition de Périgueux de Sud-Ouest, le lundi 16 décembre, consacré aux nouvelles possibilités de développement touristiques de l’agglomération, l’engagement du Grand-Périgueux pour la mémoire de la Résistance et plus particulièrement sur la thématique des maquis. Une étude est lancée pour la création d’un espace mémoriel spécifique à Saint-Pierre-de-Chignac:

« L ’office de tourisme (OT) du Grand Périgueux passe la seconde. Après une année de transition, marquée, entre autres, par un changement de son statut –l’association est devenue un Epic, Établissement public industriel et commercial, à part entière –, la structure s’apprête à ouvrir de nouveaux chantiers en 2020. Sitôt la trêve des confiseurs terminée, le bras armé de la politique touristique de l’Agglomération intégrera à « son portefeuille » de sites ouverts au public le musée du Chai de Lardimalie, à Saint-Pierre-de-Chignac. En accord avec les propriétaires, il assurera la gestion du musée du Vin et de la Vigne jusqu’en décembre 2020, après quoi l’imposant bâtiment changera de vocation. L’Agglomération du Grand Périgueux souhaiterait y aménager un centre de ressources sur la mémoire de la Résistance, en lien direct avec le site du Maquis de Durestal, au milieu des bois de Cendrieux, dont elle a entrepris la valorisation. « Le projet a été validé par le président Auzou, glisse la directrice de l’OT, Katty Vaillant-Lambert. Une étude va être lancée en début d’année 2020 pour analyser sa faisabilité.»… »